Après avoir examiné à la fois les faiblesses mais aussi le dédale inextricable de l’attrait des méthodologies décrites par Quigley, ce projet commence par formuler une approche de la lecture du théâtre de Pinter en soulignant l’engagement unique de l’érudition de Pinter à un discours réflexif sur les mécanismes et la validité des études littéraires. Cette étude détermine tout d’abord qu’une vue générale de la discipline contemporaine de lecture en surface, y compris les critiques de son bien-fondé en tant que méthodologie littéraire, jette la lumière à la fois sur la persistance et sur la prédominance des problèmes interprétatifs au sein des critiques de Pinter. Dans ses écrits, Quigley estime que la critique de Pinter n’est pas arrivée à progresser en raison de son attachement à des méthodes interprétatives faussées, notamment: la séparation que les critiques constatent, entre la surface de l’œuvre de Pinter et les couches plus profondes de compréhension, et l’erreur logique concomitante qui est de pénétrer dans ces domaines de compréhension inaccessibles ou cachés pour interpréter son théâtre. The Pinter Problem de Austin Quigley (1975) demeure jusqu’à ce jour l’une des interventions les plus fortes dans la critique de l’œuvre de Pinter.
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